Vivre İstanbul

Mise en garde: toute ressemblance avec la réalité n’est pas fortuite.

  • Laisser sa vie derrière soi, pour marcher dans les rues du centre du monde
  • Adopter un chat et le baptiser Bariş (Paix)
  • Mener la vie stambouliote: prendre un kahve entre amis, une Malboro à sa gauche, le Bosphore à sa droite
  • Vibrer au son d’un concert émanant d’un tramvuay sur İstiklak Caddesi
  • Déguster un sandwich de poisson près du Bosphore, entourée d’hommes turcs de la classe moyenne
  • Meler sa voix de meme que sa légèreté a celle de trop nombreux étudiants au Petit Beyoğlu
  • Trinquer sur un toit (pres du Bosphore, à cet endroit ou les horloges se sont arretées)
  • Acheter des photographies d’inconnus dans une bouquinerie
  • Se heurter a la voix de Jim Morrison dans le quartier de Çukurcuma
  • Fumer le nargile à Tophane, discuter de la politique du Moyen-Orient
  • Partager un repas dans une famille turque
  • Se laisser ennivrer par l’appel a la prière quotidienne
  • Etre passagère, à la vie à la mort, d’une automobile turque
  • Se voir offrir des lokoums au Marche des épices (et se faire demander en mariage a quelques reprises)
  • Prendre le çay et rédiger des cartes postales dans un jardin de thé de Sultanahmet
  • Embrasser avec passion un amoureux, devant une mosquée, la nuit tombée
  • Prendre le ferry pour rejoindre Kadıkoy, se sentir légère
  • Être temoin d’une session d’improvisation musicale a 4h30 du matin chez un DJ bien en vue de Beyoğlu
  • Danser a un mariage dont on ne connait point les époux (et faire neanmoins partie de la vidéo souvenir)
  • Partager le quotidien d’une grande dame d’opera agée de 75 ans
  • Traverser le pont de Galata avant l’aube, croiser les jeunes stambouliotes qui pechent devant un feu de joie
  • Trouver un roman de Boris Vian, en route vers le Bosphore.

Une réponse à “Vivre İstanbul

  1. Se laisser porter par la vie et découvrir une voie vers la simplicité, check, dirait-on !

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