Ces orgasmes métaphysiques

Istanbul is love. Istanbul, c’est l’amour. Ou plutôt, Istanbul c’est cette femme fatale qui ne daigne poser le regard sur nous, mais dont le sourire nous obnubile, nous crève le cœur.

Istanbul is love. Istanbul, c’est l’amour. Ou plutôt, c’est tomber amoureux près du Bosphore, sur le pont de Galata, devant les mosquées, entre les taxis, sur le toit d’immeubles décrépits, près des vendeurs de rues, à côté du tramvuay menant au Tünel, sous les lumières d’Istiklal Caddesi, dans un appartement de Beyoğlu…

Voilà une liste non exhaustive des ondes m’ayant offert des orgasmes métaphysiques et amoureux à Istanbul.

  • Strange Days & People are Strange – The Doors » Istiklal Caddesi
  • I Feel Good – James Brown » Un concert dans un tramvuay
  • – Leonard Cohen » En fumant le nargile dans Beyoğlu
  • What a Wonderful World – Louis Armstrong » Urban Cafe
  • Neon Bible – Arcade Fire » Sur un toit, Beyoğlu
  • L’amour à trois * version anglaise – Stereo Total » Sur un toit, Beyoğlu
  • Eternal Sunshine (of the Spotless Mind) – Beck » Çukurcuma
  • Pour que tu m’aimes encore – Celine Dion » Sur un autre toit, Beyoğlu
  • Grolandic Edit – Of Montreal » Urban Cafe
  • La ballade de Melody Nelson *version électro – Serge Gainsbourg » Un bar underground, Kadiköy
  • Melancholy Hill – Gorillaz » Kadiköy
  • Pass this On – The Knife » Kadiköy
  • Le sais-tu? – Françoise Hardy » mon appartement, Beyoğlu.
  • Total Solide – We are Wolves » bar Peyote, Beyoğlu.

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